Conçu et interprété par Didier Bonhoure, son hommage à Jean Ferrat a été un rare moment de communion avec le public, les salves d’applaudissements succédant à une écoute dans un silence religieux. Toutes les chansons étaient admirablement soutenues par des diapositives synchronisées permettant, entre autres, d’apprécier les textes de Louis Aragon également par la lecture. «Potemkine» ouvrit le bal, et suivirent toutes les plus belles chansons ...
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