On n'a pas compté les secondes hier à Narbonne. La «minute» de silence en a peut-être duré 3 ou 4. Mais quelle importance? Le recueillement était là. Une minute de silence? Pas assez. Devant la mairie de Narbonne, devant l'Hôpital, l'IUT ou le tribunal, les «minutes» officielles ont joué les prolongations. Signe que l'on ne voulait pas se «quitter» comme celà. Qu'il était besoin de se recueillir, de partager ensemble le silence devant ...
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