Pas plus que leur histoire souvent mal connue car douloureuse et parfois déformée. C'est ainsi que Michel Jammes, maire de Sigean, en présence de nombreuses associations patriotiques et du conseil communal des jeunes, réaffirme en ce 25 septembre son devoir moral de mémoire envers les harkis pour qui le 19 mars 1962 marquait la fin des hostilités militaires mais pas celui de leurs souffrances. Au-delà des massacres et de la barbarie commis sur ...
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