À Durban-Corbières, la nuit de samedi à dimanche a été agitée. «Il a plu encore plus fort qu'en 1999, estime Henri Estruch. A 1 h 30, l'eau arrivait au niveau du pont (1). Quand j'ai vu ça, je me suis dit ça y est, on y a droit de nouveau». L'octogénaire s'est empressé de déplacer sa voiture, stationnée le long de la Berre en furie. «En 1999, j'avais perdu mes deux voitures», se souvient-il. À l'entrée du village, où le pont en pierre a ...
↧