Parce qu'ils n'ont pas su conserver le ballon, parce qu'ils ont perdu rapidement leurs nerfs et parce que Saint-Girons était autrement motivé, les Gruissanais ont baissé pavillon, hier après-midi, à Castelnaudary. Et puis surtout probablement parce qu'ils ont rapidement perdu leur ouvreur et mentor Cédric Rosalen. La rencontre débute par un premier accrochage où le 3e ligne de Saint-Girons plaque Rosalen sans ballon (1re). Les Ariégeois ...
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